BBC Radio Liverpool: "A very very good album!" INCREDIBLE BUT RIGHT

Sue Owen et Spencer Leight de la BBC Radio à Liverpool :

“ A very very good album…A great production value……I love the harmonies too. Obviously a kind of more deph in sound, a richer sound that would have happened in the Sixties. This is a bigger thrill because with the modern sound and the respect of the original “beatleish” sound with harmonies which was spot on I think it was very very good ”.

Paul Du Noyer author and journalist, based in Liverpool and London. His speciality is The Beatles.

« I am still listening to “14 Songs”. What a great achievement to make new music that deepens and enriches our appreciation of The Beatles – and, more importantly, new music that is a pleasure to listen to for its own sake.

These songs were first recorded by artists who did not sound like The Beatles (Cilla Black, Peter & Gordon, etc). But now we can hear those songs played with a true Beatle spirit, full of that essential joy and optimism of the heart that made us all into fans of the band. My sincere congratulations to all the talented musicians of the BLF Rock Band »

Ed Rudy aux USA, spécialiste reconnu et ami des Beatles :

“ An excellent musical CD. The arrangements are very “Beatle-esque” in style and the English accented vocals and music are very professional and charming. “14 Songs the Fab Four Never Recorded” would be a unique and interesting addition for collectors and fans of The Beatles’ music”.

Jean-William Thoury de JUKEBOX Magazine

“L’exécution est soignée et la production se permet des effets bien vus comme par exemple “Bad To Me” avec pour principal accompagnement des cordes comme Paul l’a fait avec les Beatles dans “Yesterday” ou “Eleanor Rigby”.

Jean-Yves Dana journal La Croix :
L’illusion de retrouver les Beatles. À l’écoute, il faut se rendre à l’évidence, la surprise ne fait que croître à mesure que l’album se déploie, et l’illusion de retrouver l’émotion originale des Beatles est parfaite….En un mot, bluffant !,

AMAZING !
Au-delà des 13 albums (33 tours) que les Beatles publièrent chez EMI, John Lennon, Paul McCartney et George Harrison ont écrit d’autres chansons, dont ces 14 titres superbes entre 1963

et 1968 que les Beatles n’ont pas enregistrés

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Un « 14e album des Beatles » entièrement « made in France »

Un petit label français propose le 21 avril « 14 Songs », un album de chansons « inconnues » signées John Lennon, Paul McCartney ou George Harrison, écrites et composées au temps de la splendeur des Beatles, réinterprétées par une formation française, à la perfection…Les chansons s’appellent « One and one is two », « World Without Love », « Come and Get it », « Nobody I know » ou encore « Step Inside Love »… Leur titre ne dit sans doute rien à personne, même aux fans les plus inconditionnels des Beatles. Pourtant elles ont bien été écrites et composées par John, Paul ou George au temps où, avec Ringo Starr, ils déchaînaient la passion sur la planète entière. Entre 1963 et 1968.

Des chansons jamais interprétées par les Beatles

Alors quel est ce mystère ? L’explication est simple : les Fab Four, au sommet de leur gloire, destinaient simplement ces titres à d’autres qu’eux-mêmes, principalement des groupes de Liverpool, auxquels ils voulaient donner un petit coup de pouce, et ne les ont donc jamais enregistrées. Ainsi les ont-ils « offerts » à des artistes souvent oubliés aujourd’hui, comme Mary Hopkin, Badfinger, Jackie Lomax Billy J. Kramer, Peter and Gordon, ou Cilla Black, aujourd’hui présentatrice à la BBC…

Ces derniers les ont donc interprétés à l’époque, ce qui n’en fait pas des inédits. Mais ils l’ont fait sans la « Beatles Touch » qui fait toute la différence – les voix, les arrangements, les harmonies identifiables entre toutes. Devenues pour ainsi dire des chansons « comme les autres », elles n’ont pas fait des tubes, et se sont éparpillées, ont été reléguées au mieux au rayon des curiosités, voire dans l’oubli total.

Le BLF Rock Band : une formation atypique

Et voilà qu’un « Tribute Band » actuel, français de surcroît, les remet à la lumière. Incités par le producteur indépendant Jean-Michel Marquebielle, les membres du BLF (comme Beatles Live Festival) Rock Band, créé en 2001 avec six musiciens, tous professionnels par ailleurs, ont regroupé quatorze de ces chansons perdues et se sont livrés à un travail de dépoussiérage et de nouvel habillage, afin d’en offrir une interprétation « à la manière de », au plus près du style « Beatle-esque ».

Sceptiques ? Il y a de quoi en effet. « L’idée était de dire aux musiciens : imaginez que vous êtes les Beatles, vous avez votre grille harmonique en tête et vous entrez en studio. Vous n’en ressortirez que lorsque vous en aurez fait de vraies chansons. Et c’est ce qui s’est passé ! », raconte Jean-Michel Marquebielle.

L’illusion de retrouver les Beatles

À l’écoute, il faut se rendre à l’évidence, la surprise ne fait que croître à mesure que l’album se déploie, et l’illusion de retrouver l’émotion originale des Beatles est parfaite. Même Sue Owen et Spencer Leight, tous deux chroniqueurs musicaux à la radio BBC, qui ont eu l’album entre les oreilles et s’y connaissent en la matière, ont plébiscité « the original beatleish sound ». En somme, la « french Touch » a encore frappé.

Sur disque comme sur scène, l’exécution du BLF Rock Band se révèle très soignée. Les artistes n’ont pas cherché à se déguiser en Beatles. Ce qui n’empêche pas les voix de sonner juste. Celles d’Eddy Pero et de Vincent Arnaldi, mais aussi celle d’Eric Geisen sur cet « I’m in Love », cousin germain de « From me to you », ou celle d’Oliver Woodstone sur « Goodbye », magnifique ballade où l’on croirait entendre Paul…

S’inspirer de toutes les époques des Fab Four

La production, enfin, restitue toute une époque, en essayant, selon les morceaux, de s’inspirer de telle ou telle chanson célèbre. « On a touillé les compétences », explique le producteur. Ainsi la chanson « Bad to me », signée Lennon-McCartney, donne réellement le sentiment, avec ses cordes enlevées, d’avoir été enregistrée dans la foulée de « Eleanor Rigby ». Et les effets de réverbération sur « Nobody I know » renvoient l’auditeur directement à l’époque Sergent Pepper’s. Lonely Heart’s Club Band.

En un mot, bluffant !,

« Certains amateurs qui ont écouté l’album ont été assez convaincus pour le laisser dans le lecteur de CD de leur voiture », s’amuse Jean-Michel Marquebielle, pas peu fier de son « coup ».

Jean-Yves DANA
Journal La Croix , édition du 21 avril 2014